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>> blog jumeau de l'ami yanode les sondages sur le port de cage centre de ressources bdsm petits contes d/s 1 2 3 4 5 6 7 8 9 suivant fin samedi 20 janvier 6 20 / 01 / jan 19:52 week-end d'anniversaire de mariage - 16 j’ai été mis à l’écart du monde dans la cave de monsieur et madame beaupré, françois et emilie de leurs prénoms. il y a 2 mois exactement, je cauchemardais de m’y retrouver nu et enchaîné. c’est devenu la réalité pour ce vendredi soir de début de dressage… tout un symbole ! je suis arrivé comme demandé à l’avance, au moment où le jour déclinait. un post-it m’attendait sur la porte : « tu vas sur la terrasse et tu te mets totalement nu. un sac attend tes affaires et je t’ai sorti ton collier et tes bracelets. dépêche-toi car les enfants reviennent avec leur père pour 18h30, si tu ne veux pas les croiser en position particulièrement embarrassante… ps : laisse ta clé de voiture sur le paillasson. et tu m’attends, une fois prêt, à 4 pattes en bon chien soumis !!!» j’ai donc laissé la clé presque à regret et j’ai contourné à la maison pour me retrouver sur la terrasse. je ne dirais pas que c’est le lieu le plus isolé de la terre. les maisons voisines sont un peu loin, mais les fenêtres déjà allumées, me persuadent qu’il est tout à fait possible que quelqu’un me voit dans le plus simple appareil. et en plus, il a plu une partie de la journée et l’humidité froide m’entoure. il me faut une certaine dose de courage pour me contraindre à enlever mes vêtements dans ces conditions. mais je me suis intérieurement promis de ne pas chanceler et d’y aller à fond, même si, plus que jamais, j’ai tant de doutes. mais il y a quelque chose d’autre que j’ai compris et qui me bouge pas mal : j’ai voulu profiter de ma douche ce matin pour me masturber une dernière fois en « homme libre ». je bandais à mort mais impossible de partir malgré une forte excitation ! l’appel à tous mes fantasmes, même les plus noirs, a failli. j’ai eu à la fin, une drôle d’impression, qu’emilie était avec moi, et qu’en maîtresse elle désapprouvait… je me suis senti penaud, et j’ai finis par lâcher honteux ma queue… il m’est devenu clair que ces 2 derniers mois m’ont sans doute plus changé que j’aurais cru et que je devais me laisser aller dans le flot. pour l’instant je me caille en chien nu et exposé sur la terrasse de ma maîtresse. j’ai hâte qu’elle vienne me récupérer ! elle finit par arriver… - bon, on y va mon toutou adoré ? prêt à être dressé ? mon petit oui peu rassuré répond. maîtresse m’emmène de sa laisse directement au sous-sol par la porte du jardin sans passer par la case « chaleur » du salon. exactement dans la cave de la maison familiale, derrière la porte blindée, à côté des vins de garde de françois. mais je ne pourrai point en boire cette fois : une chaîne passée au-dessus d’une canalisation du plafond attend mes poignets, et j’y finis rapidement pendu par les mains. un bâillon boule vient renforcer ma mise en incapacité. de charybde en scylla, de l’homme libre à l’esclave, en quelques marches ! je trouve maîtresse particulièrement belle et intimidante, dans la demi-pénombre de la cave, prêt à boire ses prêches dominants. et les craignant déjà par anticipation. mais elle zappe les leçons de morale et passe directement aux actions répressives du bout de sa cravache, me prenant à contrepied. je ne comprends rien alors qu’elle me « travaille » le corps, suffisamment durement pour que bientôt je n’ai qu’une pensée : qu’elle arrête enfin ! surtout pour ces coups qui se « perdent » sur mes couilles… - je dois continuer ou j’ai déjà toute ton attention ? je la regarde abattu me demandant quel crime j’ai pu commettre. - non tu n’as rien fait de répréhensible. enfin pas encore… mais un soumis averti, en vaut deux… je crie dans mon bâillon quand maîtresse écrase mes couilles de la poigne de sa main. c’est une lutte disproportionnée destiné à ma faire céder. il me semble que j’y cède mes derniers arpents terrain de liberté… abandonnant prudemment toute récrimination interne d’injustice, pour m’ouvrir et m’inquiéter de ce que veut désormais ma maîtresse. elle termine sa prise de contrôle de 2 retentissantes gifles qui finissent par me mettre au pas ! - bon maintenant, que j’ai toute ton attention, nous allons pouvoir commencer ton dressage… et pour te détromper d’office, il n’y aura pas de contrat pour ta mise en dressage. je sais que vous, les soumis, fantasmez cela, pour frissonner à chaque terme avant de trembler en signant au bas du contrat. non, nous allons le faire plus à ma façon… encore hébété, je l’écoute sans vraiment comprendre au début. mais bientôt, je la vois dévoiler un cadre où est inscrit un long texte sous mes yeux. au même moment, des jeunes pas se font entendre sur le plancher de l’étage... - ok ils sont rentrés… il faut faire vite avant qu’ils viennent mes chercher ici… voilà ton engagement. voilà l’engagement que tu vas nous déclamer. apprend le par cœur sans te tromper ou gare de nouveau à tes fesses ! et sur ces dernières paroles impériales, maîtresse me laisse seul dans la cave. le bruit glacial de la serrure de la porte blindée qui m’enferme résonnera sans doute longtemps dans mes souvenirs. je suis seul, enfermé à l’écart du monde que j’entends au-dessus et bientôt un début de panique me gagne. j’ai la sensation d’étouffer dans mon bâillon et il me faut de longues minutes pour me rassurer que non, je respire sans problème malgré toute la bave que cause la boule. mais je n’ose pas encore lire le texte affiché et garde mon regard prudemment concentré ailleurs. jusqu’à ce que je me botte le cul virtuellement et décide d’arrêter ce comportement puéril. je savais parfaitement que je venais là pour me faire mettre en une nouvelle soumission. moi, pierre grimard, de sexe mâle et âgé de 38 ans, désire depuis longtemps devenir soumis à temps complet. je quémande humblement aux personnes présentes, de me dresser sans faille dans le but de me faire devenir ce soumis parfaitement épanoui et heureux de vivre dans un état, de totale soumission et de complète dépendance en tous domaines. je leur reconnais irrémédiablement le titre de mes maître et maîtresses, et les pouvoirs qui vont avec sur ma personne. j’accepte par avance, de suivre toutes les instructions de mes maître et maîtresse et de m’y plier immédiatement et sans la moindre contestation à toutes leurs exigences, ce, dans tous les domaines. j’accepte par avance d’être mis en état de minorité réelle, financière, sociale, familiale et sexuelle, et comprends que dorénavant je ne peux rien entreprendre ou décider qui n’ait été auparavant validé par mon maître ou mes maîtresses. j’accepte par avance tous les ordres, tous les moyens, toutes les situations, tous les matériels et tous les accessoires qui pourraient m’être imposés, et ce, même de manière permanente, ou définitive, y compris dans ma vie sociale, et m’en remets totalement à la sagesse de mon maître et mes maîtresses. j’accepte par avance toutes les exploitations et tous les abus, sur mon corps et mon esprit, de toute nature, sexuelle, physique, psychologique que voudraient m’imposer mes maître et maîtresse et m’en remets totalement à leur sagesse. maître françois, voulez-vous s’occuper de mon éducation et me prendre à votre service ? maîtresse claire, voulez-vous s’occuper de mon éducation et me prendre à votre service ? maîtresse emilie, voulez-vous s’occuper de mon éducation et me prendre à votre service ? voilà nous sommes dans le vrai ! ce n’est certes pas un contrat écrit, mais ce que j’y accepte est très fort. et si j’en tremble, ce n’est pas de peur mais d’émotion brute. chaque mot a dans cette déclaration un sens et des implications précises qu’il me semble redécouvrir, comme si j’avais oublié la force des mots. l’anoblissement envisagé de françois en mon maître a quelque chose de surprenant. je n’avais jamais pensé à un maître homme et je ne vois pas françois l’être. peut-être que je me trompe. c’est le seul point qui m’inquiète ce